Blog

Une nouvelle technique shteshitsu, ça faisait longtemps ! Celle-ci vous permet d’envoyer des textos, de faire la sieste ou même de manger une barquette de frite tout en conduisant votre moto.

Si vous n’y arrivez pas ou n’avez pas de moto, vous pouvez toujours jouer de la guitare tout en conduisant un 4×4 (et non, ça ne marche pas avec d’autres voitures).

Effectivement, la vidéo est passée sur Alt-tab mais hein, oh.

Homebrew ? DS ? WTF?! Ce sont des programmes fait par des amateurs (homebrew = « fait maison ») prévus pour fonctionner sur Nintendo DS. Parce qu’il n’y a pas que les jeux officiels dans la vie !

Comment ça fonctionne ? En théorie c’est enfantin : il faut acheter un linker DS (une cartouche sur laquelle on peut écrire), et copier dessus les programmes que vous désirez. En pratique, il faudra aussi appliquer une modification sur certains programmes afin que votre linker puisse les faire fonctionner : le patch DLDI.

DLDI ? Chaque linker est construit différemment et de ce fait, la manière de stocker/lire des informations dessus n’est pas la même. Des fous ont donc créé une librairie générique, que les développeurs peuvent utiliser dans leur code. Du coup, quand vous récupérez un fichier .nds et avant de le copier sur votre cartouche, vous devez le modifier pour adapter les instructions DLDI à celles de votre linker.

Mais si, c’est simple : d’abord, vous téléchargez un outil permettant d’appliquer le patch (Win32 GUI si vous êtes sous Windows). Ensuite, vous récupérez le patch correspondant à votre linker (ceux qui ont un DSLinker, comme moi, prenez le NEO Flash MK5 (NAND Flash)). Vous êtes prêt !

Maintenant, quand vous téléchargerez un programme, vous n’aurez plus qu’à lancer votre outil, sélectionner votre patch et votre fichier .nds pour appliquer la modification, puis copier le fichier sur votre linker.

Les portes du homebrew vous sont ouvertes ! Mais sans jeux ni programmes à télécharger, on ne va pas aller bien loin… Alors, quels homebrews valent le coup ? On verra ça plus tard… 🙂

Les podcasts, dans le principe c’est génial : on s’abonne, iTunes télécharge les nouvelles émissions tout seul dès qu’elles sortent, et les mets sur notre iPod quand on le branche – enfin, dans le cas où on est une victime de la consommation et qu’on achète que du Apple. Bref, ça permet d’écouter/regarder des émissions sympa dans le métro, et donc d’avoir un peu moins l’impression de perdre son temps.

Problème : je n’ai pas trouvé de podcasts géniaux auxquels m’abonner. Donc, heu, quels podcasts suivez-vous ? Faites péter !

Pendant que j’y suis, si quelqu’un sait comment avoir l’émission de Culture Pub en podcast, je suis preneur.

Pour la forme et la beauté du partage, voici ceux que je regarde quand même :

Jeux vidéo

• Silence on joue, de LibéLabo (audio) : un petit coup d’oeil honnête et franc sur l’actualité du jeux-vidéo. Ca manque de fun et ça se répète beaucoup mais ça reste sympa
• Gameblog (audio) : des sujets assez intéressants (pas forcément de l’actu) et quelques trucs marrants mais ça manque de maitrise (problèmes de sons, et puis parfois les mecs se plantent dans les noms de jeu ou autres, ça fait un peu tâche)
• L’émission de Gamekult (vidéo) : des news, des focus (previews) et voilà. En fait j’aime pas trop, ça n’apporte rien à ce qu’on a déjà lu sur le net

Musique

• La chanson du dimanche (vidéo) : chaque dimanche une chanson, en général c’est drôle. Assez inégal, mais ça reste un bon moment de détente
• Les concerts à emporter (vidéo) : des artistes, souvent inconnus pour moi, jouent quelques morceaux dans des lieux pas forcément prévus pour (en général, la rue)

Si vous avez des émissions de cinéma, ou… Je ne sais pas quoi d’autre, tiens… Ça m’intéresse aussi.

Donc pour ceux qui n’ont pas compris : 3 Slips, c’est la boîte qu’on a monté pour gérer tous nos sites web existants et à venir.

D’ailleurs, on en lance un nouveau : ALT-TAB.ORG. Certains connaissent déjà ce nom de domaine puisque je l’ai depuis longtemps, et après un essai infructueux de site sur la culture alternative, le revoilà sous une forme plus simple, plus pure, plus thon. Ce qui nous donne une collection intéressante de citations, d’images, de vidéos ou de téléphones trouvés lors de nos voyages sur l’Internet multimédia.

Et tout ça, c’est génial.

Google Reader me recommande de lire NonWii. Il n’est pas dans mes flux et c’est un des meilleurs sites du monde : leur système de recommandation est donc parfaitement au point.

Parce que je sais que vous ne pensiez plus qu’à ça (et que tout le monde ne lit pas les commentaires) voici la conclusion à l’histoire de ma voisine :

Elle a été hospitalisée d’urgence et personne n’a été mis au courant (!). Elle a pleins de chats, qui étaient bien dans l’appartement quand les pompiers sont passés. Bizarre qu’ils aient dit le contraire… Une de ses amies est venue nettoyer tout ça, et pense amener les chats à la SPA vu que la voisine n’arrive pas à s’en occuper.

Et donc je devrais la revoir, ma voisine, mais peut-être avec un pied en moins.

On sonne. C’est la police, ils sont quatre et me demandent si j’ai des nouvelles de ma voisine d’en face. Je leur explique qu’on la voit rarement, et que là, ouais, ça fait un petit moment qu’on ne l’a pas croisée. J’ajoute qu’on s’était posé la même question quand, la veille, deux personnes étaient passées : ils cherchaient à la voir et n’y arrivaient pas, elle n’était jamais là.

Les policiers nous expliquent que personne n’a de ses nouvelles depuis quelques temps, qu’elle est sous traitement médical et que ses proches s’inquiètent. Et puis il y a l’odeur.

Depuis plusieurs jours, une odeur assez forte se fait sentir dans le couloir. Ça semble venir de son appartement, c’est même sûr, ça vient de chez elle. Ils appellent donc les pompiers pour s’introduire. Quelques longues minutes plus tard, l’un d’eux passe par le toit en cassant une fenêtre. Une fois entré, il annonce à ses collègues : « ça pue ! ». Puis il siffle.

Il décrit l’appartement : il est couvert d’excrément (ah, il a sifflé pour appeler le chat), c’est le bordel partout et des cartons sont faits, comme pour préparer un déménagement. Mais il n’y a personne.

Ensuite ils ont pris mon nom et m’ont demandé de lui expliquer pour la fenêtre, quand elle reviendra. Mais allez savoir pourquoi, je pense que je ne la reverrai plus. C’est louche comme histoire !

N’empêche, elle aurait pu mourir chez elle, on ne s’en serait même pas rendu compte.

Ça fait bizarre.

Ça me tue…

Peut-être qu’il a cru que « ETG 06 » voulait dire « Étagère numéro 6 » ? Je ne vois pas d’autre explication… Et vous, une idée ?