Il est tard, l’heure des derniers métros est largement dépassée, mais il faut bien rentrer à la maison. Je décide de prendre un vélib, et si j’avance à pied en direction de mon domicile, je vais bien tomber sur une station. Alors je marche un peu lorsque je remarque, adossé à un mur, un parapluie abandonné. Il est beau, le genre de parapluie à l’ancienne qu’on peut tenir comme une canne, il semble assez vieux mais en bon état. Je le déplie, replie, waow, c’est du solide ! Allez, je l’adopte.
Je continue de marcher, avec maintenant mon parapluie sur l’épaule.
Je tombe alors sur une station de vélib, je vérifie un des vélos, j’utilise la borne pour le réserver, pour une fois tout se passe bien du premier coup. Je détache le vélo et là, que vois-je dans le panier / porte-bagage ? Un autre parapluie ! Celui-ci est plus classique, le genre de truc ultra pliable (et souvent trop fragile) qu’on trouve un peu partout. Mais il est en super état, il est comme neuf. Allez hop, lui aussi je l’adopte.
Voilà mon histoire.
Voilà pourquoi j’ai deux parapluies.